Articles de mthe

  • Passage à l'heure d'été : cinq questions sur le changement d'heure saisonnier

    H ete

    QUESTIONS-REPONSES SUR LE SITE VIE PUBLIQUE

    Le passage à l'heure d'été a lieu le dimanche 27 mars 2022 à 2 heures du matin (il faudra alors ajouter 60 minutes à l'heure légale, il sera donc 3 heures du matin). Le changement d'heure est en vigueur en France métropolitaine depuis 1976.

    • Depuis quand le changement d’heure a-t-il été instauré en France ?
    • Et dans l'Union européenne ?
    • Pourquoi le changement d'heure a-t-il été mis en place ?
    • Le changement d'heure va-t-il être supprimé ?
    • Le changement d'heure est-il appliqué ailleurs dans le monde ?

     

     

  • Un peu d'humour avec le tuilage du confiné

    UN ARTICLE DU SITE 450 FM DU 23/01/2022

    Chaque période de crise est source de fertilité pour les amateurs d’humour. Le joyeux duo des Tontons maçons n’échappe pas à la règle. Ils nous avaient offert il y a tout juste un an ce morceau d’architecture qui fera date dans l’apport rituel de la Franc-maçonnerie.

    V∴ M∴F∴ Exp∴ , veuillez procéder au tuilage de ce Confiné.

    Exp∴           Qu’y a-t-il entre vous et moi ?
    Confiné           Deux mètres de distanciation sociale.

    Exp∴          Êtes-vous Confiné ?
    Confiné          Mes voisins me reconnaissent comme tel.

    Exp∴          D’où venez-vous ?
    Confiné          D’une ville oscillant en confinement et couvre-feu.

    Exp∴          Quelle est la forme de votre ville ?
    Confiné          Contagieuse.

    Exp∴           Quelles en sont les dimensions ?
    Confiné           De l’hôpital à l’EPAD, du bar au restaurant, du musée à la discothèque.

    Exp∴           Que signifie cette réponse ?
    Confiné           Que la pandémie est universelle.

    Exp∴           Où avez-vous été infecté ?
    Confiné           Dans une rave-party interdite et sauvage.

    Exp∴           Que faut-il pour qu’une rave-party soit interdite et sauvage ?
    Confiné           Trois organisent, Cinq mixent, Sept dansent et la rendent interdite et sauvage.

    Exp∴           À quoi reconnaîtrai-je que vous êtes confiné ?
    Confiné           À mes maux, signes et attouchements.

    Exp∴           Donnez-moi les maux ?
    Confiné           Les pertes de gout et d’odorat.

     

     

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  • Courte lettre aux scorpions imbéciles et satisfaits

    Ils vous ont fait aimer la démolition de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Lybie.

    Toujours, leurs soldats repartent en emportant ou contrôlant les richesses des pays détruits, en regrettant de ne pas avoir su instaurer leur démocratie et après avoir fait (avec votre accord) des morts par centaines de milliers.

    Après eux, les villes sont en ruine, les femmes sont encagées sous du tissu noir, on marie les fillettes à neuf ans et on leur interdit l’école.

    Ils enragent de ne pouvoir livrer la Syrie et un sixième de la Chine (Xinjiang) aux djihadistes. Pour y parvenir, ils comptent sur votre soutien pro-démocratique.

    Ne l’ont-ils pas ? Ne répétez-vous pas ce que disent les médias des neuf milliardaires, et le Monde, Libération, France Inter, BFMTV, Cnews, Arte, TF1, France Culture, Arrêt sur Images, etc. ?

    Demain, vous n’irez pas voter ou vous voterez pour Le Pen ou Macron ou pour quiconque crie moins fort que Mélenchon (qu’importe le programme !).

    Les pires d’entre vous iront au stade applaudir Messi. Comment es-tu tombé si bas, ô peuple régicide, peuple de la commune, du Front populaire, des maquis du Vercors et d’ailleurs ? Peuple qu’éclaira le siècle des Lumières et chez qui fut signée « La Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen » ?

    On raconte (Si non è vero, è ben trovato,) qu’un Allemand demanda à Picasso en montrant le tableau Guernica : « C’est vous qui avez fait çà ?  » Et Picasso lucide : « Non, c’est vous ».
    Dans le « silence des pantoufles », les crimes incessants des Etats-Unis, de l’OTAN (leur outil), d’Israël, sont commis par des armées avec des peuples complices par leur passivité, des peuples qui se taisent devant « ces assassins que craignent les panthères et dont tremble un poignard quand leur main l’a touché » (Aragon).

    Il serait temps de comprendre de qui parlait le poète turc Nazim Hikmett.

    Il serait temps de dire à ceux qui se disculpent par des « J’ai rien fait, msieur ! » (sic), qu’on tue grâce à eux, qu’on détruit des pays pendant qu’ils applaudissent un tir au but, qu’on asservit des millions de femmes pendant qu’ils participent à la marche blanche pour la fillette disparue de leur village, « le coeur bien en paix, la conscience claire et Dieu à leurs côtés ».

    Maxime VIVAS

    URL de cet article 37321
     

  • "Ensemble, défendons la Liberté" : Lettre ouverte à nos concitoyens

    ARTICLE SUR LE SITE D'EUROPE 1 - 23/09/2020

    Alors que le procès des attentats de janvier 2015 s'est ouvert au début du mois, et que la republication des caricatures de Mahomet par Charlie Hebdo a, à nouveau, suscité la polémique, une centaine de médias français, dont Europe 1, s'associent pour publier une lettre ouverte en faveur de la liberté.

    Il n’est jamais arrivé que des médias, qui défendent souvent des points de vue divergents et dont le manifeste n’est pas la forme usuelle d’expression, décident ensemble de s’adresser à leurs publics et à leurs concitoyens d’une manière aussi solennelle.
    Si nous le faisons, c’est parce qu’il nous a paru crucial de vous alerter au sujet d’une des valeurs les plus fondamentales de notre démocratie : votre liberté d’expression.

    Aujourd’hui, en 2020, certains d’entre vous sont menacés de mort sur les réseaux sociaux quand ils exposent des opinions singulières. Des médias sont ouvertement désignés comme cibles par des organisations terroristes internationales. Des États exercent des pressions sur des journalistes français "coupables" d'avoir publié des articles critiques.

    La violence des mots s’est peu à peu transformée en violence physique.

    Ces cinq dernières années, des femmes et des hommes de notre pays ont été assassinés par des fanatiques, en raison de leurs origines ou de leurs opinions. Des journalistes et des dessinateurs ont été exécutés pour qu’ils cessent à tout jamais d’écrire et de dessiner librement.

    "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi", proclame l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, intégrée à notre Constitution. Cet article est immédiatement complété par le suivant : "La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi."

    Pourtant, c’est tout l’édifice juridique élaboré pendant plus de deux siècles pour protéger votre liberté d’expression qui est attaqué, comme jamais depuis soixante-quinze ans. Et cette fois par des idéologies totalitaires nouvelles, prétendant parfois s’inspirer de textes religieux.

    Bien sûr, nous attendons des pouvoirs publics qu’ils déploient les moyens policiers nécessaires pour assurer la défense de ces libertés et qu’ils condamnent fermement les États qui violent les traités garants de vos droits. Mais nous redoutons que la crainte légitime de la mort n’étende son emprise et n’étouffe inexorablement les derniers esprits libres.

    Que restera-t-il alors de ce dont les rédacteurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 avaient rêvé ? Ces libertés nous sont tellement naturelles qu’il nous arrive d’oublier le privilège et le confort qu’elles constituent pour chacun d’entre nous. Elles sont comme l’air que l’on respire et cet air se raréfie. Pour être dignes de nos ancêtres qui les ont arrachées et de ce qu’ils nous ont transmis, nous devons prendre la résolution de ne plus rien céder à ces idéologies mortifères.

    Les lois de notre pays offrent à chacun d’entre vous un cadre qui vous autorise à parler, écrire et dessiner comme dans peu d’autres endroits dans le monde. Il n’appartient qu’à vous de vous en emparer. Oui, vous avez le droit d’exprimer vos opinions et de critiquer celles des autres, qu’elles soient politiques, philosophiques ou religieuses pourvu que cela reste dans les limites fixées par la loi. Rappelons ici, en solidarité avec Charlie Hebdo, qui a payé sa liberté du sang de ses collaborateurs, qu’en France, le délit de blasphème n’existe pas. Certains d’entre nous sont croyants et peuvent naturellement être choqués par le blasphème. Pour autant ils s’associent sans réserve à notre démarche. Parce qu’en défendant la liberté de blasphémer, ce n’est pas le blasphème que nous défendons mais la liberté.

    Nous avons besoin de vous. De votre mobilisation. Du rempart de vos consciences. Il faut que les ennemis de la liberté comprennent que nous sommes tous ensemble leurs adversaires résolus, quelles que soient par ailleurs nos différences d’opinion ou de croyances. Citoyens, élus locaux, responsables politiques, journalistes, militants de tous les partis et de toutes les associations, plus que jamais dans cette époque incertaine, nous devons réunir nos forces pour chasser la peur et faire triompher notre amour indestructible de la Liberté.

    #DefendonsLaLiberté

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  • Je crois à la politique

    Message de notre F.'. Gérard DELFAU -  Pézenas, le 20 mars 2020

    Chers amis,

    Je reprends contact avec vous après une longue absence et dans un contexte particulièrement difficile.

    Ma première pensée sera pour toutes celles et ceux qui subissent l’atteinte de l’épidémie ou qui s’en inquiètent pour leurs proches. Je ne les oublie pas.

    Mais le hasard a voulu que notre livre, Je crois à la politique, dont Martine Charrier fut à l’initiative dès 2010, paraisse le 11 mars, au moment même où nous entrions dans la phase aiguë du sinistre sanitaire.

    Fallait-il en remettre l’annonce à la rentrée ? Après réflexion, j’ai décidé avec Pascal Hocante de rendre accessible l'information à partir de notre site http://www.debatslaiques.fr/

    A défaut de pouvoir l'acheter éventuellement chez votre libraire, vous pourrez l’obtenir en version numérique sur le site des Éditions L’Harmattan. C’est un gros ouvrage de 664 pages, qui raconte une vie vouée à servir la République et qui ouvre des perspectives pour l’Après-crise, quand il faudra commencer à rebâtir sur des bases entièrement nouvelles une société, où le dogme libéral en matière économique et les diverses formes de cléricalisme ne feraient plus la loi.

    Oui, je crois à la politique. Plus que jamais !

    Autre lien : Je crois à la politique - http://www.debatslaiques.fr/Je-crois-a-la-politique.html

  • "Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie..." : Annie Ernaux

    UN ARTICLE DU SITE DE FRANCE INTER du 30/03/2020

    Annie Ernaux est écrivaine. Elle vit à Cergy, en région parisienne. Son oeuvre oscille entre l'autobiographie et la sociologie, l'intime et le collectif. Dans cette lettre adressée à Emmanuel Macron, elle interroge la rhétorique martiale du Président.

    Monsieur le Président,

    « Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

    Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » -  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

    Annie Ernaux

  • Notre TCF Guy BOUCHON est passé à l'Orient Eternel

     

    Guybouchon1
    Guy BOUCHON

    Loge d'intiation (1975) : R:.L:. La Régénération - BAR LE DUC
    Loge d'activité : R
    :.L:. EUROPA - STRASBOURG
    Passage à l'Orient Éternel le 14 décembre 2019

     

    Nous sommes bouleversés par cette disparition. Membre actif du site internet Les Amis Philosophes, c'est plus qu'un franc-maçon qui nous a quittés pour l'Orient Éternel, c'est un véritable ami qui nous a abandonnés pour l'éternité. Guy va nous manquer terriblement...mais aussi sa voix qui, de Strasbourg me saisissait toujours gravement et si tendrement.

    Que de paroles bien senties, que d'analyses produites sur les hauts et les bas de notre Institution, que de combats laïques menés ensemble pour tenter désespérément de sauver les hautes valeurs morales et républicaines qui nous soudaient très fortement...

    Il y a peu encore, nous déjeunions ensemble et échangions nos analyses avec la fougue qui nous caractérisait alors, comme lorsqu’ensemble nous animions la Commission Régionale de la Laïcité du GODF durant quatre années. 

    Notre TCF Guy, n'a pas choisi de rejoindre aussi vite l'Orient Éternel car il nous aurait dit, comme à son habitude "Je ne comprends pas" avec sa voix grave...laissant vite place à son humour coutumier et il me reste encore l'éternité plus un jour pour mieux en saisir sa profondeur symbolique. Il voulait sans doute, en chair et en os , mais bien vivant, rencontrer, non pas le Grand Architecte, cher au Pasteur Anderson, non pas l'Être Suprême cher à Auguste Comte, mais le Grand Horloger cher à Voltaire. Mais voilà, à vouloir trop découvrir l'indicible et l'invisible, sa propre "horlogerie" s"est détraquée à jamais...et sa parole s'est perdue en pleine activité au Club Jean Macé de la Ligue de l'Enseignement. Je le soupçonne de nous avoir toutes et tous réunis tant à Strasbourg qu'à Morlaincourt en nous transmettant son don d'ubiquité pour l'accompagner dans son ultime voyage pour atteindre cette Grande Lumière qu'est l'Humanité. 

    Toutes nos condoléances à son épouse Laurence et à ses enfants.

    Michel NICETTE - V:. M:. de la RLER Humanisme et Perspectives

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    Déclaration de l'un de ses FF:. du GODF lors de ses obsèques à Morlaincourt (55) :

    Au nom de tous ses amis …

    Toute la vie de Guy fut embaumée des parfums de l’aveuglant soleil de la connaissance.
    La nuit, qui sur lui s’était abattue, il l’avait vaincue ; prenant au mot la réponse d’Andromaque à sa servante, quand cette dernière lui avait demandé :
    Comment s’appelle ce moment du jour où le ciel est sale ?
    Andromaque lui répondant par ce mot d’espérance : C’est l’aube.
    Polymathe – éclectique connaissant – devenu, tu as souvent vox clamentis in deserto :
    prêcher dans le désert ( Saint-Jean le Baptiste au solstice d’été) ; sachant que l’on ne parle jamais de nulle part, mais perseverare, jamais tu n’as renoncé.

    La mort t’a frappé au détour du temps qui passe.
    Mais nous savons tous, que seule la perte du souvenir entraine la mort.
    Depuis Tacite, et en écho Cocteau, le cœur des vivants est le véritable tombeau des morts ?
    Pour beaucoup, souvent devenus ton chien d’aveugle, nous sommes tous orphelins.

    « Me revient à ma mémoire » douce France, doux pays de Morlaincourt, ces mots de Camus :
    SI – si il y a une âme, c’est erreur de croire qu’elle nous est donnée toute créée.
    Elle se crée tout au long de la vie.
    Vivre, ce n’est rien d’autre, que le long et torturant accouchement.
    Quand l’âme est prête, crée par nous et la douleur
    [Guy a beaucoup donné], voici la mort  - la mort , qui est le paroxysme de la vie.

    Guy a toujours fait ce que dois, advienne que pourra.
    Il se dit, on murmure, qu’il est dans l’empyrée – la plus élevée des quatre sphères célestes, séjour des dieux …

    SP

     

  • Quand le personnel politique français et les islamobéats vont-ils sortir de leur sidération ?

    Par Kamel DAOUD - Journaliste au Journal Le Point (publié sur FB par Jean-Pierre Sakoun président du CLR)

    Polémiquer sur le voile en sortie scolaire permet d’éviter les questions auxquelles peu répondent :
    1• Comment la gauche républicaine et laïque peut-elle défendre le communautarisme ?
    2• Pourquoi défend-elle au sein de l’islam le courant prêché et financé par les frères musulmans qui souhaitent pour les musulmans une éducation religieuse morale et politique différente de celle du pays dont ils sont citoyens ?
    3• Pourquoi traite-elle différemment l’islam des autres religions desquelles elles exigent une neutralité laïque rigoureuse avec raison ?
    4• Pourquoi ignore-t-elle la rudesse de la conquête de la laïcité républicaine à la française ? 15.000 expulsions de religieux français et confiscation des lieux du culte catholique).
    5• Pourquoi la gauche ne dénonce-t-elle pas l’instrumentalisation de la laïcité par le RN au lieu d’avoir la fierté de la défendre ?
    Quant à la connaissance ou l’expérience de l’Islam par ses « alliés objectifs » elle semble absente. Et l’avis de ceux qui le sont semblent instrumentalisé :
    « Il n'y pas d'islamiste modéré. Un islamiste est modéré avant de prendre le pouvoir, jamais après. Un islamiste ne vise pas un mandat mais l'éternité. Il ne veut pas votre voix mais votre conversion. Il ne veut pas construire le pays mais restaurer les premiers temps. Il ne peut pas concevoir la liberté sauf celle de vous imposer sa croyance. Et avec le printemps arabe, on découvre que cette secte, en plus de l'intolérance, vient de découvrir la stratégie de la ruse."

    Kamel Daoud

  • Joumana Haddad, écrivaine, journaliste, féministe et athée libanaise...

    TRANSMIS PAR L'UNE DE NOS LECTRICES :

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